Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus de deux ans, et avions décidé de nous marier. Ma petite amie était un rêve. Il y avait seulement une chose qui me tracassait beaucoup : sa plus jeune soeur. Ma future belle-soeur avait vingt ans, portant mini-jupes serrées et chemisiers très bien garnis. Elle se penchait régulièrement quand elle était près de moi, j'avais ainsi une vue plaisante sur ses formes appétissantes. Cela était évidemment délibéré. Elle ne l'a jamais fait avec d'autres devant moi. Un jour, elle m'a appelé et m'a demandé de venir pour vérifier les invitations de mariage. Elle était seule quand je suis arrivé. Elle m'a chuchoté que bientôt je serais marié, et qu'elle avait des sentiments et du désir pour moi, qu'elle ne pouvait et ne voulait pas surmonter. Elle m'a avoué qu'elle voulait me faire l'amour juste une fois avant que je sois marié avec sa soeur. J'étais totalement choqué et ne pouvais dire un mot. Elle a dit : « Je vais en haut dans ma chambre, et si tu veux passer à l'acte tu peux monter et me prendre."
J'étais assommé, gelé. Je l'ai observée monter les escaliers. Quand elle a atteint le palier, elle a quitté sa culotte et me l'a jetée en bas des escaliers. Je me suis tenu là pendant un moment, puis j'ai pris la direction de la porte d'entrée. Je l'ai ouverte et j'ai marché directement vers ma voiture.
Mon futur beau-père se tenait dehors. Avec des larmes aux yeux, il m'a étreint et a dit : "Nous sommes très heureux que vous ayez passé notre petit test avec succès. Nous ne pouvions pas penser à un meilleur homme pour notre fille. Bienvenue dans la famille."
Moralité : toujours garder ses préservatifs dans sa voiture.
Un mec entre dans la chambre, une chèvre dans les bras. Sa femme allongée sur le lit est en train de lire un livre. L'homme dit :
- Regarde chérie, c'est la vache que je baise quand t'as des migraines.
- Si t'étais pas idiot à ce point tu te rendrais compte qu'il s'agit d'une chèvre, répond la femme.
- Si t'étais pas idiote à ce point tu comprendrais que je parlais à la chèvre...
Ci-dessous, la version d'une question bonus de chimie donnée à l'université de Montréal. La réponse d'un étudiant a été si loufoque que le professeur l'a partagée avec ses collègues, via internet, et c'est pourquoi nous avons le plaisir de la lire :
Question bonus : "L'enfer est-il exothermique (évacue de la chaleur) ou endothermique (absorbe de la chaleur) ?"
La plupart des étudiants ont exprimé leur croyance en utilisant la Loi de Boyle (si un gaz se dilate il se refroidit et inversement). Cependant, un étudiant eut la réponse suivante :
- Premièrement, nous avons besoin de connaître comment varie la masse de l'enfer avec le temps. Nous avons donc besoin de connaître à quel taux les âmes entrent et sortent de l'enfer. Je pense que nous pouvons assumer sans risque qu'une fois entrée en enfer, l'âme n'en ressortira plus. Du coup, aucune âme ne sort. De même pour le calcul du nombre d'entrée des âmes en enfer, nous devons regarder le fonctionnement des différentes religions qui existent de par le monde aujourd'hui. La plupart des ces religions affirment que si vous n'êtes pas un membre de leur religion, alors vous irez en enfer. Comme il existe plus d'une religion, nous pouvons projeter que toutes les âmes vont en enfer...
Maintenant, regardons la vitesse de changement de volume de l'enfer parce que la Loi de Boyle spécifie que "pour que la pression et la température restent identique en enfer, le volume de l'enfer doit se dilater proportionnellement à l'entrée des âmes." Par conséquent, cela donne 2 possibilités :
- si l'enfer se dilate à une vitesse moindre que l'entrée des âmes en enfer, alors la température et la pression en enfer augmenteront indéfiniment jusqu'à ce que l'enfer éclate ;
- si l'enfer se dilate à une vitesse supérieure à la vitesse d'entrée des âmes en enfer, alors la température diminuera jusqu'à ce que l'enfer gèle.
Laquelle choisir ?
Si nous acceptons le postulat que ma camarade de classe Teresa m'a répondu durant ma première année d'étudiant : "Il fera froid en enfer avant que je couche avec toi", et en tenant compte du fait que j'ai couché avec elle la nuit dernière, alors l'hypothèse doit être vraie. Ainsi, je suis sûr que l'enfer est exothermique et a déjà gelé. Le corollaire de cette théorie c'est que comme l'enfer a déjà gelé, il s'ensuit qu'il n'accepte plus aucune âme et du coup qu'il n'existe plus...laissant ainsi seul le Paradis, et prouvant l'existence d'un Etre divin ce qui explique pourquoi, la nuit dernière, Teresa n'arrêtait pas de crier : "oh, mon Dieu!..."
Après une soirée, un gars ramène sa copine chez elle, dans un quartier très huppé. Ils sont à la veille de s'embrasser pour se dire bonne nuit devant la porte d'entrée, lorsque le gars commence à se sentir excité sexuellement.
Avec un air confiant, il se penche vers elle en souriant, une main accolée sur le mur, et lui dit :
- Chérie, me ferais-tu une pipe ?
Horrifiée, elle répond:
- Es-tu malade? Mes parents pourraient nous voir !
- Oh alleeez! Qui va nous voir à cette heure ? demande-t-il d'une voix haletante.
- Non, s'il te plaît. Imagines-tu si on se fait prendre? La fille du juge local se doit d'être exemplaire!
- Oooh alleeez! Il n'y a personne aux alentours, ils dorment tous.
- P-A-S Q-U-E-S-T-I-O-N. C'est trop risqué !
- Oooh s'il te plaît ! s'il te plaiiiiit, je t'aime tellement?!
- Non, non, et non. Je t'aime aussi, mais je ne peux juste pas!
- Oh ouiiiii tu peux! Tu peeeeeux! S'il te plaiiiiiiiiit?
- Non, non et non. Je ne peux simplement pas.
- Je t'en suppliiiiiiiiie...
- Donnes-moi une seule bonne raison, dit-elle.
Le jeune homme se lance alors dans une argumentation passionnée de dix
bonnes minutes sur les besoins et pulsions masculines, d'une voix de plus en plus rauque. Soudain, la lumière dans l'escalier s'allume, et la petite soeur de la jeune fille apparaît en pyjama, les cheveux en bataille, les yeux bouffis, et leur annonce d'une voix endormie :
- Papa m'a dit de te dire soit tu lui fait sa pipe, soit moi je lui fait sa pipe. En cas de besoin, maman dit qu'elle peut descendre elle-même et la lui faire. Mais par pitié, dis-lui à ce con, d'enlever sa main de l'interphone !
Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari est au travail.
Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l'armoire pour voir ce que sa mère
fait avec cet homme-là.
Un moment plus tard, le mari rentre à l'improviste.
Paniquée, la femme cache son amant, dans la même armoire.
- le fils : fait sombre ici
- l'amant : ouais c'est vrai
- le fils : j'ai un ballon de foot
- l'homme : content pour toi
- le fils : tu veux l'acheter ?
- l'homme : non merci
- le fils : mon père est là dehors
- l'homme : ok, combien
- le fils : 250 euros
Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau dans l'armoire en
compagnie de l'amant de sa mère
- le fils : fait sombre ici
- l'homme : ouais c'est vrai
- le fils : j'ai des super baskets
- l'homme se rappelant la dernière fois grimace : combien ?
- le fils : 500 euros
Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets tes baskets et
prends ton ballon, on va faire une partie.
- le fils : je peux pas, j'ai tout vendu
- le père : pour combien
- le fils : 750 euros
- le père : c'est inadmissible d'arnaquer les gens comme ça. Ces affaires
n'ont jamais coûté ce prix là. Je t'amène à l'église pour te confesser.
Le père amène son fils à l'église, le pousse dans le confessionnal et ferme
la porte.
- le fils : fait sombre ici
- le curé : merde, maintenant t'arrêtes tes conneries !
Premier jour d'école dans une classe américaine.
L'institutrice présente à la classe un nouvel élève: Sakiro Suzuki.
L'heure commence. L'institutrice:
- Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture américaine? Qui a dit: "DONNEZ-MOI LA LIBERTE OU LA MORT" ?
Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main:
- Patrick Henry, 1775, à Philadelphia.
- Très bien Suzuki ! Et qui a dit : "L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER" ?
- Abraham Lincoln, 1863 a Washington, répond Suzuki.
L'institutrice regarde les élèves et dit:
- Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l'histoire américaine mieux que vous !
On entend alors une petite voix au fond de la classe
- Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !
- Qui a dit ça ? s'insurge l'institutrice.
Suzuki lève la main et sans attendre, dit:
- Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee Iacocca, 1982, lors de l'assemblée générale de General Motors.
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret:
- Y'm' fait vomir.
L'institutrice de hurler:
- Qui a dit ça ?
Et Suzuki de répondre:
- George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991.
Un des élèves se lève alors et crie:
- Pomp'moi l'gland !
Et Suzuki, sans sourciller:
- Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche, à Washington.
Un autre élève lui hurle alors:
- Suzuki, espèce de merde !
Et Suzuki:
- Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002.
La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît :
- MERDE, j'ai encore jamais vu un bordel pareil !
Et Suzuki:
- Jacques Chirac, en ouvrant le dossier "CPE"?